Messes

Messes dominicales

sauf 28 juillet : 10h30 à la chapelle des lieux saints (Guénouvry) : pas de Messe à Plessé le 27 et à Guémené le 28. Repas possible sur place

sauf 25 août : 11h à la chapelle st Joseph de la Provotais (st Nicolas de Redon) : pas de Messe à st Nicolas le 24 et à Avessac le 25. Repas possible sur place

Samedi 18h00 à Plessé
Samedi 18h30 à Saint-Nicolas-de-Redon

Dimanche à 11h00 à Guémené-Penfao
1er et 3ème dimanche à 9h30 à Fégréac
2ème, 4ème et 5ème dimanche à 9h30 à Avessac

15 août : Messes en plein air à Avessac (statue ND de bonne garde) et au Dresny (grotte de Lourdes, proche du cimetière) : apportez votre pliant si possible !

Messes en semaine

Mardi 17h30 à Avessac
Mercredi à 18h30 à Guémené-Penfao
Jeudi 9h30 à Plessé
Vendredi 9h30 à Guémené-Penfao

Edito du mois

Dieu veut que tous les hommes soient sauvés (1 Tm 2,4)

 Qu’y a-t-il de commun entre les jeux olympiques et les conflits qui endeuillent notre humanité ?

C’est leur dimension planétaire, globale, et souvent médiatisée.

Si nous pouvons légitiment nous réjouir de cette expérience de fraternité et de dépassement de soi qui caractérisent les jeux olympiques, ceux-ci ne sauraient masquer les très nombreuses tragédies qui déchirent les peuples, détruisent des vies humaines, poussent à la haine et blessent profondément les peuples.

Comme chrétiens catholiques, nous portons une espérance universelle (c’est le sens du mot catholique). Nous avons cette immense responsabilité d’annoncer au monde, à chaque homme, qu’ils sont aimés de Dieu, inconditionnellement.

Oui, nous sommes catholiques, c’est-à-dire que nous faisons nôtres les aspirations à la fraternité et à l’accomplissement de soi mises en valeur par ces jeux, et aussi que nous voulons apporter à tous les hommes sans exception, le Salut offert par le Christ.

Il n’y a que dans la fraternité en Christ que ces aspirations à l’amitié universelle trouveront leur accomplissement.

Il n’y a que cette Rédemption apportée par le Christ qui puisse ouvrir une brèche dans l’impasse de la violence, la spirale de l’injustice et de la guerre.

Le jour où tous les juifs, nos pères dans la foi, et tous les palestiniens, dont certains partagent déjà notre baptême, seront frères en Christ, alors ils pourront apprendre à vivre en paix, une paix véritable fondée dans l’amour reçu d’un même Père. Cela peut sembler utopique, et pourtant c’est la volonté clairement exprimée par le Christ lorsqu’il nous dit : « de toutes les nations, faites des disciples ».

Ce n’est pas une option facultative ou un luxe pour un baptisé d’être disciple du Christ et missionnaire de son Salut. Catholiques, nous avons reçu cette mission à la fois exaltante et exigeante d’annoncer aux hommes qu’ils sont aimés, qu’ils sont sauvés, tous et chacun. Nous devons l’annoncer et bien sûr plus encore en témoigner par notre charité concrète. Cet été, demandons la grâce pour nos paroisses d’être fidèles à cet appel, de nous engager résolument dans la communion fraternelle et l’annonce de l’évangile pour que tout homme puisse reconnaître dans le Christ son Sauveur.

p. Arnaud +